mardi 27 juillet 2010

La ville tourne, les amants sont ivres, le vin coule et mes poches sont vides...


"J'ai chaud tout à coup,
J'avoue, j'suis toute à vous quand
Vous vous égarez le long de mes courbes.

À vos charmes, à nos amours, à mes larmes.
À l'heure où j'ai déposé les armes."


À mes amours, mes amis, mes emmerdes, les gens que j'aime pas, ceux que je supporte un jour sur deux, ceux qui croient que je les aime, ceux que je crois aimer. Aux mecs qui m'ont bien eu. Aux filles que je déteste. À mes futures connaissances sociales universitaires. À l'ami que je vais retrouver en vacances après deux ans d'absence. À mes futures années qui apparaissent comme les plus belles. À mes (rares) lecteurs. À moi. À vous. À mon père qui me manque.